Dans le cadre du Printemps de la poésie, l’Institut Sainte-Marcelline met sur pied deux rencontres avec la poétesse et écrivaine Nouhad Abou Samra. L’enjeu pour Jean-Eudes Arnoux, professeur de philosophie et doyen à l’ISM ? Faire découvrir la variété des formes poétiques à travers le monde à ses élèves de quatrième, à travers un atelier d’écriture.
Clément Marot, Victor Hugo, Jacques Prévert… À l’école, on étudie la poésie française du Moyen Âge à nos jours et ce sont souvent les mêmes (grands) noms que l’on croise. Pour ouvrir ses élèves de quatrième à d’autres horizons lyriques, l’Institut Sainte-Marcelline a invité la poétesse et autrice Nouhad Abou Samra. À la faveur d’un premier atelier, le 11 mars, elle présentera aux élèves des formes de poèmes venant d’ailleurs, comme les haïkus, et dispensera un atelier d’écriture afin que les écrivains et écrivaines en herbe composent à leur tour un poème. Le 19 mars, elle viendra découvrir ce que son atelier a semé et discuter avec eux de leurs productions, des difficultés rencontrées et, pourquoi pas, assister à la déclamation de certains d’entre eux.
Générique
Nouhad Abou Samra, écrivaine et poétesse – animatrice
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Nouhad Abou Samra est née au Liban en 1966. Elle arrive en France en 1985 où elle effectue des études de psychologie. Entre 2019 et 2022, elle publie cinq livres aux éditions Stellamaris parmi lesquels un roman, des poèmes et des nouvelles. Résidant aujourd’hui dans le canton de Vaud, elle est membre de l’Association vaudoise des écrivains et consacre une grande partie de son temps à la lecture et à l’écriture.