Anicée Willemin a publié son premier recueil de poèmes Les balcons étaient comme des roses d’eau entêtantes dans la nouvelle collection « Marge blanche » des Éditions du Griffon à Neuchâtel.

Convaincue que la plupart des gens se font une idée vague de la poésie et méconnaissent son pouvoir de sublimation — « ils perçoivent un paysage poétique, une phrase lyrique qui chantonne, des rimes subtiles, mais sans connaître véritablement ce qu’est la poésie » —, elle souhaite faire de ce rendez-vous non pas un moment de développement personnel, mais bien d’écriture, de lecture et de création.

Même si, indirectement, ce temps de partage peut en effet apporter un réel bien-être aux participants et les aider à se reconnecter à leur inconscient, grâce aux mots et à leur agencement.