L’espace d’une matinée, le poète Philippe Leignel lira des extraits de L’espace pour mourir, poème rhapsodique dont les stances sont toutes reliées à une figure de femme imaginaire.
Également traducteur de Miguel Hernandez (1910-1942), un des plus grands poètes de la guerre civile espagnole, Philippe Leignel évoquera sa brève existence, tragique et lumineuse. Et il donnera lecture de quelques poèmes extraits de Mon sang est un chemin (Xenia, 2013), choisis et traduits de l’espagnol en collaboration avec Sara Solivella, sa collègue et amie.
C’est elle qui lui fit découvrir ce poète cher au cœur de son peuple, né dans la même rue que Sara, à Orihuela (province d’Alicante) en 1910.